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Sous la férule de Michel Kafando, extirpé de sa retraite rurale de Dayoubsi où, pour l’essentiel, les Burkinabè l’avaient oublié, et sous le regard des leaders des partis politiques peu enclins à mettre les mains dans le cambouis de la «transition», le Burkina Faso tenté par une «révolution» s’est adonné à une «transition» qui, finalement, aura atteint son objectif : organiser sans coup férir des élections couplées, présidentielle et législatives. Récit