Les gouvernements devraient marquer la Fête du Travail, le 1er mai 2014, en s’engageant à mettre en place des normes juridiquement contraignantes pour lutter contre le travail forcé, et pour protéger et indemniser les victimes, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport. L’Organisation internationale du travail (Oit) estime que 20,9 millions de femmes, d’hommes et d’enfants dans le monde subissent des situations de travail forcé.??La Convention 29 de l'Oit sur le travail forcé, l’un des principaux traités dans le domaine du droit international du travail, a été adoptée en 1930 et ratifiée par 177 pays. Toutefois, un grand nombre de ses dispositions sont obsolètes. Des représentants de gouvernements, de syndicats et d’organisations patronales se réuniront à Genève en juin pour négocier la mise en place de normes supplémentaires, mieux adaptées aux abus d’aujourd’hui.
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