fév 24, 2013
Dans une déclaration publique en date du 21 février, Amnesty International après avoir fait le point sur ces vagues d'arrestation dans le cadre de l'affaire des incendies des grands marchés de Lomé et de Kara se dit très préoccupée par le sort qui est réservé aux personnes détenues. Faisant le point des échanges qu'elle a eu avec ces détenus dont plusieurs responsables politiques, la branche togolaise de cette organisation internationale révèle que « la moitié des personnes rencontrées par Amnesty International ont déclaré qu'elles n'avaient pas été clairement notifiées des motifs de leur arrestation ».
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