déc 05, 2011
C’est par une procédure confidentielle que celui qui a dirigé pendant plus de dix ans la Côte d’Ivoire, le Président Laurent Gbagbo, est déféré à La Haye devant la Cour pénale internationale (CPI). Par la nature arbitraire de son acte qui enfreint la légalité et ressort de la justice des vainqueurs, la CPI confirme qu’elle ne dit pas le droit. En prétendant juger le président Gbagbo, elle n’est qu’un instrument politique au service des puissances occidentales qui continuent de dominer l’essentiel du continent africain et ses richesses naturelles.
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