Les petites entreprises semencières sont le meilleur moyen de garantir la disponibilité et la qualité de semences non hybrides pour l’alimentation humaine et animale dans les pays en développement, selon un nouveau guide publié par la FAO. La grande majorité des agriculteurs dépendent de graines autofécondées ou à pollinisation libre, ou de plantes multipliées par la division des bulbes, les greffes et les boutures, qui peuvent être stockées et partagées par les cultivateurs. Toutefois, ces derniers manquent de nouvelles variétés qui pourraient les aider à accroître la production avec une quantité équivalente d’intrants. Dans ces conditions, la création d’une entreprise semencière est une solution à coût proportionnellement faible lorsqu’elle fait intervenir les associations locales d’agriculteurs.
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