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L’université algérienne croule sous les feux de la critique. Les classements et rapports internationaux la place à un rang peu enviable, les organismes recruteurs dénoncent l’incompétence des diplômés du supérieur, d’autres la qualité de l’enseignement et de l’encadrement. La politique, jadis ambitieuse, de la démocratisation de l’enseignement supérieur a réduit le secteur de l’enseignement supérieur en une machine de production de diplômés. Ils seraient de l’ordre 200 000 chaque année, toutes filières confondues.