oct 04, 2010
Culpabilité et remords d’un père vieillissant qui a livré son fils à l’armée. Avec un homme qui crie, sorti le 29 septembre sur les écrans en France, Mahamet Saleh Haroun offre un film fort et sensible sur le Tchad, la guerre et son absurdité. Le réalisateur explore les méandres de la culpabilité d’un homme qui a préféré préserver son précaire statut social plutôt que la vie de sa progéniture. Il a reçu le Prix du jury de la 63e édition du Festival de Cannes
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