sep 27, 2010
A peine deux semaines après la signature d'un accord permettant à la Cour pénale internationale (CPI) de mener librement ses enquêtes sur les violences électorales de fin 2007, le Kenya est revenu sur sa décision en demandant au procureur de la juridiction, Louis Moreno-Ocampo, de surseoir à sa mission et de quitter le pays. Selon le juge et ministre des Affaires constitutionnelles, la promulgation de la nouvelle Constitution offre désormais au Kenya des structures fortes et un mécanisme lui permettant de juger les responsables de la violence post-élection de décembre 2007.
- Identifiez-vous pour poster des commentaires
- 122 lectures