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Laurent Gbagbo n’est visiblement pas prêt à mettre un terme à son jeu favori qui est celui de la balançoire. Ce jeu consiste à faire un pas en avant, et un autre en arrière. C’est ce jeu qui lui a permis de faire stagner le processus de sortie de crise et de le maintenir toujours à la case de départ. Alors que certains optimistes voulaient se permettre quelque rêverie, après l’annonce tapageuse de la tenue des élections cette année par le chef de l’Etat, celui-ci fait ressurgir son habitude de prendre une décision et de la compromettre en même temps.