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Confinés au chômage et au manque de recettes, les vendeurs de journaux ont vécu de plein fouet les contrecoups de la ’’journée presse morte’’ observée le 21 juillet par plusieurs organes de presse pour réclamer justice au profit de deux journalistes frappés par des policiers le 21 juin, à l’issue du match de football Sénégal-Liberia.?