juil 15, 2008
Le Liberia est subitement devenu invivable, comme au temps de la guerre civile, pour des planteurs burkinabè. Leur tort ? N'avoir pas de papiers d'identité et surtout être, comme le leur reproche un préfet de la localité, des anciens combattants. Le tapage fait autour de cette affaire a fini par parvenir à la présidente du pays, Ellen Johnson Sirleaf. Mais au lieu de calmer le jeu, la présidente a, en quelque sorte, envenimé la situation. Le mot "expulsion" a même été lâché, sans chercher à savoir si les accusés sont effectivement des anciens combattants et de quel bord ils sont et s'ils veulent reprendre les armes après avoir été démobilisés.
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