jan 27, 2008
Déclarations et chansons provocatrices diffusées sur les ondes des stations de radio vernaculaires et lors des réunions de partis, textos, emails, affiches, prospectus… tous, selon les analystes, ont contribué aux violences qui ont déchiré le Kenya à la suite des dernières élections. Des centaines d’habitations ont été incendiées, plus de 600 personnes ont été tuées et 250 000 autres ont été déplacées. Si les principaux médias, à la fois anglais et swahilis, ont été félicités pour leur impartialité, les émissions des radios vernaculaires ont été la source de vives préoccupations.
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