nov 11, 2007
La Haute cour criminelle d’Afrique du Sud a ouvert la voie à l’Etat, le 8 novembre dernier, afin de poursuivre à nouveau Jacob Zuma, le vice président du Congrès national africain pour corruption, en rapport avec une affaire de contrat de vente d’armes signé en 2001 entre le gouvernement sud-africain et la firme française Thint. La Cour a confirmé l’appel que le directeur national des poursuites publiques avait interjeté contre le jugement rendu par la Haute Cour de Durban qui annulait les cinq mandats de perquisition contre Zuma et son avocat.
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