nov 14, 2006
"Quand que je rentre chez moi, je remarque souvent que, dès que j'arrive, les serviettes de toilette, les savons et les éponges vont disparaître de la salle de bain", déclare Isaiah Ojeabulu, un ancien malade de la lèpre. Il dirige une Association de défense des droits des personnes affectées par la lèpre au Nigeria. Il a les mêmes souvenirs de son enfance. La discrimination à son égard a commencé dès l'instant où il a contracté la lèpre, dit-il.
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