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Le chef de l’Etat Ivoirien a affirmé avoir indiqué à la Cour pénale internationale que les juridictions ivoiriennes sont en mesure de juger Mme Gbagbo, révélant, par conséquent, que les interrogatoires sont en cours et que le processus se déroule normalement. Détenue à Odienné, à la suite de la crise postélectorale de 2010-2011 qui a fait officiellement plus de 3.000 morts, l’épouse de l’ex-président Laurent Gbagbo fait l’objet d’une demande de transfèrement à la Haye par la Cpi.