mar 27, 2009
En réponse au mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar al-Bashir, Mahmood Mamdani estime que ceux qui veulent l'application de des textes doivent également être tenus comptables lorsque la justice est recherchée. Retraçant l’histoire du conflit du Darfour, Mamdani estime que le fait de fonder sa compréhension sur de fausses hypothèses a conduit la CPI à jeter le blâme à la porte de al-Bashir.
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