Génocide en Rd Congo : La force de la Vérité
L’éclatement de la vérité sur le génocide au Congo, vient soulager les souffrances antérieures d’innombrables âmes de nos compatriotes massacrés par le Rwanda et ses « machines à tuer » comme Joseph Kabila, James Kabarebe, Azarias Ruberwa, Abdulay Ndombashi, She Okitundu, Munene,… Toutes les âmes de nos populations massacrées ne pourraient se reposer si leur Congo, leurs frères, sœurs et parents, leurs semblables au monde ne parvenaient pas à les voir et à leur reconnaître, dans leur globalité, leur triste identité et attribut indéniables de génocide.
L’éclatement de la vérité sur le génocide au Congo, vient soulager les souffrances antérieures d’innombrables âmes de nos compatriotes massacrés par le Rwanda et ses « machines à tuer » comme Joseph Kabila, James Kabarebe, Azarias Ruberwa, Abdulay Ndombashi, She Okitundu, Munene,… Toutes les âmes de nos populations massacrées ne pourraient se reposer si leur Congo, leurs frères, sœurs et parents, leurs semblables au monde ne parvenaient pas à les voir et à leur reconnaître, dans leur globalité, leur triste identité et attribut indéniables de génocide. Parmi ceux qui ont courageusement refusé de voir le Congo et sa population subir ces atrocités de génocide, il y a, sans surprise, ceux qui étaient sensés protéger les vies, nos vies.
En effet, dans leur plan de la mort, il fallait semer la panique dans les esprits des « brebis ». Les premiers à être abattus étaient les pasteurs, prêtres, sœurs religieuses, évêques, militants des Droits humains, personnes honnêtes… Ceux-là qui pouvaient oser leur poser la question sur leur ignoble plan et aventure pour des massacres et génocide au Congo étaient tués sur ordre de Kagame, James Kabare et Hyppolite Kanambe ou Joseph Kabila.
En effet, les protecteurs de la vie connaissaient la vérité sur le danger du génocide qui guettait le Congo Kinshasa et son peuple. Parmi ces vaillants : Monseigneur Muzihirwa, les pasteurs monseigneur Kataliko, son éminence Fréderic Etsou, les sœurs religieuses, autorités d’autres confessions religieuses, les leaders communautaires… Les Défenseurs des Droits Humains ont été systématiquement tués et continuent à l’être. Ils constituent la cible principale du génocide.
Voici la liste de nos vaillants hommes et femmes de la vérité, du courage pour la défense des vies qui ont donné tout pour l’humanité ; même leurs vies : Akite Kisembo, Pascal Kabungulu, Franck Ngyke Kagundu, Mpoyi Ngongo, Kailu Mutombo, Louis Mwamba Bapuwa, Serge Maheshe Kasole, Patrick Wilungula, Didace Namujimbo Borha, Wabihu Kasuba, Bruno Koko Chirambiza, Floribert Chebeya, Fidele Bazana Edadi, Salvator Kahindo…
Ces vaillants militants, dans leur mission sacrée de protéger les vies contre tout danger des crimes surtout le génocide que l’on déplore aujourd’hui, ont été assassinés par Joseph Kabila, la machine rwandaise à tuer. Les âmes de ces vaillants reposent auprès de celles des victimes du génocide dont ils connaissent, irréfutablement, la vérité sur l’authenticité, existence, auteurs, co-auteurs. Ces âmes ont attendu la proclamation officielle au niveau international du crime de génocide au Congo pour que commence, enfin, pour elles, le processus de repos ; car il y a des préalables pour elles et d’autres Congolais vivants. Les âmes sont offensées. Elles ont attendu longtemps pour que le monde, les Nations-Unies, reconnaissent leur grande « mort », c’est-à-dire les crimes graves commis contre elles, par le Rwanda et le pouvoir à Kinshasa (Joseph Kabila et autres…)
La force de ce rapport de l’ONU réside dans l’esprit de la vérité qui le caractérise depuis les premières pages jusqu’aux dernières. Je l’ai lu du début à la fin. Il est pour moi un des rapports les mieux élaborés, avec des faits authentiques, vérifiés et vérifiables, qui éloignent tout doute quelconque. Admirable rapport contenant les récits, éléments, preuves audiovisuelles des atrocités extrêmement graves qui ont été commises au Congo par le Rwanda de/et Paul Kagame, ainsi que par ses généraux et soldats (Joseph Kabila, James Kabarebe, Kundabatware, Mutebutsi, William Kagabo, Bosco Ntaganda et d’autres). Ces éléments de crimes et tueries systématiquement graves sont tellement bien collectés, cohérents et suffisamment prouvés pour qu’ils soient qualifiés ou définis autrement que de génocide.
C’est la vérité ! La vérité qui a accompagné l’esprit d’enquêtes, d’investigations, de méthodes spéciales dans cette longue et délicate mission des recherches des faits, indices, preuves ou aveux sur ces crimes troublants du génocide commis au Congo par Paul Kagame et ses hommes. Etablir et faire éclater la vérité est un acte louable de courage.
En effet, la force des Nations Unies ne se mesure pas par le nombre de ses unités sur terrain ni par la quantité d’immenses équipements/matériels de toutes sortes. Elle ne se mesure pas non plus par les moyens financiers en milliards dont elles disposent. Sa force réside dans l’effort de toujours faire et agir dans/par intégrité. Pour se donner une mission de paix et de sécurité dans le monde, il fallait, en effet, se munir de ces grandes valeurs : vérité, intégrité et courage.
Ce rapport de l’ONU sur le génocide au Congo est une manifestation, une expression, une démonstration, enfin, de ces valeurs qu’il ne faut jamais trahir dans aucune circonstance ni par aucun prétexte. C’est la vérité sur ce génocide au Congo Kinshasa qui pourra protéger la planète terre et l’humanité contre toutes autres sortes d’atrocités inimaginables comme celle qui ont été commises et qui sont encore en train de se commettre aujourd’hui au Congo. La publication intégrale de ce rapport de vérité sauve et va sauver le monde entier ; car la commission (du verbe commettre) de ce génocide, les douleurs des humains et autres scènes indescriptibles ne sont plus ressentis par les victimes seulement, mais sont enfin ressentis sur tous les continents qui pleurent, maintenant avec les Congolais (enfants, femmes hommes ), s’identifient à eux et viennent pour qu’ensemble l’on commence à préparer les séances de nettoyage, de réhabilitation et de restauration de l’image du pays dont la face est couverte du sang des humains qui ne pourront jamais sécher ; le sang qui coule en fleuves dans toutes les directions ; fleuves du sangs des Congolais du génocide qui, en passant, laissent les mélodies perceptibles : « Nous sommes le sangs des Congolais, le sang du génocide au Congo ; sang coulé par le Rwanda, par Kagame et ses hommes : Joseph Kabila/Hyppotite Kanambe, James Kabarebe et consorts…
Comme le rapport de « vérité » de l’ONU sur le génocide et d’autres atrocités commis au Congo par le Rwanda et ses hommes dont Joseph Kabila /Kanambe, j’ai l’obligation de dire les vérités sur ces hommes. Mêmes si celles-ci sont accablantes, je les dis. C’est tout simplement ma contribution au salut de notre pays (…)
Rapport sur le Génocide au Congo, un travail non encore terminé
Le travail de l’excellent rapport de l’ONU sur les gravissimes atrocités commises au Congo (…) mérite les appréciations du monde entier. Notre inquiétude réside, cependant, dans le fait que les auteurs, co-auteurs et autres facilitateurs de ces massacres au Congo qui sont très bien identifiés, leurs pays respectifs bien connus, se meuvent et voyagent dans les pays membres de l’ONU sans inquiétudes. Ces criminels bénéficient encore des tapis rouges et honneurs. Pour ma part et de l’avis du peuple congolais martyr, les tapis rouges rappellent tout simplement le sang des femmes éventrées ; et dans lequel baignent les bébés sans défense et sans vies ; bébés noyés dans le fleuve du sang ; lequel sang est utilisé pour peindre les tapis sur lesquels les bourreaux des millions de femmes et bébés marchent. Les tapis rouges pour Joseph Kanambe Kabila et Paul Kagame ?
Oh femmes et bébés du monde entier, demandez à vos gouvernements respectifs de cesser, dès la publication du rapport sur le génocide au Congo, de leur étaler les tapis rouges (sang de leurs innombrables victimes qui sont environ dix millions). Car leur place n’est plus sur les tapis rouges mais plutôt en prison. Les Nations-Unies ont tous les moyens, les ressources, expertises et vérités sur les liens entre Paul Kagame et Joseph Kabila ou Kanambe.
En effet, le rapport sur les massacres au Congo n’aura pas d’impact, dans ces efforts de tous de prévenir des génocides, s’il n’établit pas clairement, publiquement et internationalement les liens qu’il y a entre le régime génocidaire du Rwanda au Rwanda et le régime génocidaire du Rwanda au Congo. Il faut que ce rapport dise clairement que le régime du Rwanda de Paul Kagame a astucieusement placé au Congo Kinshasa le même régime et ses hommes (Hyppolite Kanambe, Ruberwa, Bizi Makara, Moise Nyarugabo, Deogratias Bugera, James Kabare…). Le régime de Kinshasa est un duplicata du régime de Kigali. C’est ce qui est abominable et qui mérite que l’ONU établisse ces vérités et les liens entre le régime tentaculaire de Kigali et celui actuel de Congo Kinshasa. Grâce à ce rapport de l’ONU, notre pays doit cesser immédiatement d’être humilié, occupé et exploité, avec et pour but le contrôle de toutes nos ressources (par Kagame).
Oui, ce rapport ne sera pas fini si les auteurs, co-auteurs et facilitateurs des massacres et génocides, au pouvoir à Kinshasa, ne sont pas inquiétés. Le travail ne sera pas fini si l’ONU ne travaille pas pour débarrasser le Congo Kinshasa de ce régime monstrueux du Rwanda au Congo et les auteurs principaux des massacres et génocide commis. Il faut rester dans la logique du Rapport.
Les massacres et génocide au Congo étant des faits graves, leurs auteurs ne doivent, en aucune circonstance, rester au pouvoir. Les garder au pouvoir serait renier les atrocités extrêmes dont ils sont auteurs. Je cite nommément Joseph Kabila/Kanambe et consorts… C’est, ici et maintenant, qu’il faut agir sans attendre ; car ces criminels, reconnus mondialement et qualifiés comme tels et ayant commis le génocide et autres massacres avec les moyens et équipements de destruction moins importants que ceux qu’ils ont acquis hier et aujourd’hui, sont capables d’intensifier ce même génocide jusqu'à en faire un autre pour cinquante millions de massacrés.
Merci pour le rapport, mais prenez vos hommes (Joseph Kabila Kanambe et consorts) et allez avec eux vers des compétences judiciaires internationales et/ou loin du Congo Kinshasa ; loin de toutes leurs victimes congolaises ! Ainsi vous serez restés dans la logique du rapport et vous aurez commencé à faire justice aux millions de morts et de vivants. Les actes de génocide étant des faits excessivement graves, prenez des mesures exceptionnellement graves pour la restauration de l’ordre au Congo ; au niveau territorial, politique, judiciaire, économique… Il ne faut pas traîner ; il faut nous enlever ces tueurs de femmes, d’enfants et d’ommes. Ils sont dangereux dans l’humanité. Joseph Kabila Kanambe, Paul Kagame et consorts, qui gèrent notre pays à partir de Kigali, sont dangereux ! Avec les moyens dont ils disposent maintenant, ils sont capables de commettre les mêmes crimes à un rythme exponentiel.
A partir de toutes ces vérités accablantes et irréfutables, il est plus qu’urgent d’obtenir l’arrestation immédiate de Joseph Kabila/Kanambe et sa Mise hors d’état de nuire Toutes les révélations contenues dans ce document sont vraies et vérifiables et constituent, pour moi, un acte de conscience libre et de dédouanement qui doit, d’ailleurs, animer chacun de nous face aux questions : qu’est-ce que vous avez fait face aux crimes/génocide ? Suite à ce rapport des Nations-Unies, quelles actions conséquentes proposez-vous et envisagez-vous ? Il faut que Joseph Kabila Kanambe et Paul Kagame soient arrêtés immédiatement. Un Tribunal Compétent sur le génocide au Congo par le Rwanda doit être créé. Toutes les Composantes de la société congolaise doivent prendre leurs responsabilités en mains pour s’engager courageusement dans ce processus de sortir le Congo et son peuple de la souillure, du sang et de l’humiliation par Paul Kagame et le Rwanda.
Les Nations-Unies sont appelées à rester dans la logique du rapport sur le Génocide et aller jusqu’au bout avec les recommandations urgentes et immédiates pour éviter que le contenu ne devienne, comme dans beaucoup d’autres rapports, lettre morte. Depuis la publication du Rapport, Joseph Kabila Kanambe n’est plus président du Congo Kinshasa et le monde entier doit en être saisi !
* Golden Misabiko est défenseur des Droits de l’homme, nominé de MEA/2006, leader de la Société Civile au Congo
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