Central African Republic

Six personnes ont été tuées et 25 autres blessées vendredi 28 juin à Bangui dans des heurts entre civils et hommes de la coalition Séléka, au pouvoir depuis fin mars en Centrafrique. Depuis la prise de pouvoir par la coalition Séléka, le nouveau gouvernement centrafricain peine à sécuriser le pays, qui reste en proie à des violences et des pillages réguliers. A l'appel de Bangui, il est prévu que les forces de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale en Centrafrique passent à 2....lire la suite

Il ne se passe pas un seul jour à Bangui, la capitale centrafricaine, sans braquage. Cela, malgré les mesures de sécurité prises par les nouvelles autorités politiques. Est-ce encore un problème dû au manque de contrôle des rebelles du Séléka ? Une chose est sûre, les mesures de sécurités mises en place ne les empêchent pas d’agresser la population civile. Les habitants de la capitale centrafricaine sont encore loin de connaître la sécurité. Les détonations continuent, les éléments du Séléka ...lire la suite

La Croix-Rouge centrafricaine appelle les habitants de Bangui à venir identifier 78 cadavres ramassés par ses volontaires dans les rues de la capitale à la suite du coup d'État des rebelles de la Séléka, le 24 mars. "Tous ces corps ne disposent pas de pièces d'identité et nous souhaitons que la population fasse cet effort de reconnaissance parce que nos volontaires vont procéder très rapidement à l'inhumation de ces corps dans une fosse commune", a ajouté M. Eyamo. La Croix-Rouge avait qualif...lire la suite

Les pays d'Afrique centrale, déterminés à empêcher à tout prix la chute de Bangui, ont commencé à envoyer des renforts pour protéger la capitale centrafricaine menacée par les rebelles du Séléka qui contrôlent une large partie du pays et réclament le départ du président François Bozizé. Ces renforts devraient porter à 760 hommes les effectifs en Centrafrique de la Force multinationale d'Afrique centrale.

Onze personnes ont été tuées les 31 mai et 1er juin, lors de violences visant des musulmans à Bangui, dont huit appartenaient à la communauté tchadienne, ont indiqué les ministres tchadien et centrafricain de la Défense dans un communiqué conjoint. C’est suite aux troubles consécutifs à l'assassinat de deux garçons centrafricains survenus le 31 mai 2011, que les violences ont eu lieu. Les deux délégations ont déploré des cas de mort, des blessés et d'importants dégâts matériel dans les deux c...lire la suite

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