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Des dizaines de réfugiés namibiens qui devaient rentrer dans leur pays au plus tard le 30 décembre 2015, ont fait part de leur crainte d’être torturés par les autorités namibiennes à leur retour au pays. Selon des documents judiciaires, l'un d'entre eux, Felix Kakula, a accusé le gouvernement namibien d'être ce qu'il a appelé «un transgresseur connu» de ses obligations en vertu de la Convention sur les réfugiés, une Convention des Nations Unies contre la torture et autres traitements cruels, inhumains ou humiliants.