juil 30, 2015
DN
D’aucuns estiment en effet que le sous-développement permanent de Madagascar, la paupérisation chronique de la population, l’absence d’équilibre régional global tant critiquée et l’état d’arriération chronique de certaines régions sont les conséquences inéluctables de la forme de l’Etat consacrée par les Constitutions successives. Mais quelle que soit la forme de l’Etat adoptée, la démocratie et le développement ne pourront être assurés que si les mesures suivantes seront prises en priorité.