Cela fait tout juste dix ans. Le 19 septembre 2002, le général Robert Gueï était assassiné, à Abidjan, au moment même où un coup d’Etat manqué se transformait en une rébellion - les Forces nouvelles contre le régime de Laurent Gbagbo - qui a pris le contrôle du nord et de l’ouest du pays. Dix ans après, les circonstances de la mort de l’ancien chef d’Etat ne sont toujours pas élucidées. Pour son parti, l’UDPCI, ce sera une étape obligée du processus de réconciliation. Robert Gueï a dirigé, pe...lire la suite
Cela fait tout juste dix ans. Le 19 septembre 2002, le général Robert Gueï était assassiné, à Abidjan, au moment même où un coup d’Etat manqué se transformait en une rébellion - les Forces nouvelles contre le régime de Laurent Gbagbo - qui a pris le contrôle du nord et de l’ouest du pays. Dix ans après, les circonstances de la mort de l’ancien chef d’Etat ne sont toujours pas élucidées. Pour son parti, l’UDPCI, ce sera une étape obligée du processus de réconciliation. Robert Gueï a dirigé, pendant dix mois, la junte militaire installée en Côte d’Ivoire suite au coup d’Etat du 24 décembre 1999 contre le président Henri Konan Bédié.