Cote d’Ivoire

Plus d’un an après la crise postélectorale qui a secoué la Côte d’Ivoire entre décembre 2010 et avril 2011 après la présidentielle, une centaine d’enfants ayant fui les combats dans l’ouest du pays, attendent toujours de retrouver leurs parents. Dans une déclaration publiée le 20 septembre à Abidjan, le CICR révèle avoir identifié en 2011 quelque 837 enfants séparés de leurs parents et vivant principalement dans les camps de réfugiés au Libéria et en Guinée. La Croix-Rouge dit avoir rétabli ...lire la suite

Deux ONG réclament que la société Trafigura, basée au Royaume-Uni, comparaisse au pénal dans le cadre de l’affaire Probo-Koala. En 2006, 100 000 Ivoiriens avaient été intoxiqués suite à l’épandage de déchets toxiques appartenant à la multinationale. Un rapport accablant de plus de 230 pages intitulé "Une vérité toxique" et publié, mardi 23 septembre, conjointement par Greenpeace et Amnesty International fait ressurgir la complexe affaire du cargo-poubelle Probo Koala.

Le 17 septembre 2012, le Conseil national de la presse (CNP, organe de régulation de la presse écrite), a levé la suspension provisoire touchant l’ensemble des journaux de l’opposition, proches de l’ancien président Laurent Gbagbo. Le président du CNP a inscrit cette décision "dans le cadre des médiations en cours avec le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (patronat) et la Commission dialogue, vérité et réconciliation".

Cela fait tout juste dix ans. Le 19 septembre 2002, le général Robert Gueï était assassiné, à Abidjan, au moment même où un coup d’Etat manqué se transformait en une rébellion - les Forces nouvelles contre le régime de Laurent Gbagbo - qui a pris le contrôle du nord et de l’ouest du pays. Dix ans après, les circonstances de la mort de l’ancien chef d’Etat ne sont toujours pas élucidées. Pour son parti, l’UDPCI, ce sera une étape obligée du processus de réconciliation. Robert Gueï a dirigé, pe...lire la suite

La Cour pénale internationale (CPI) vient de rejeter la demande de mise en liberté provisoire de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, soupçonné de crimes contre l’humanité et détenu à La Haye. Un rejet qui intervient moins d'un mois avant l'audience de confirmation des charges qui pèsent contre lui, prévue le 13 août. Les réactions en Côte d'Ivoire. Selon un cadre du FPI, il n'y a aucune déception due au rejet de la liberté provisoire pour l'ancien chef de l'Etat. Le parti dit être confian...lire la suite

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