Chad

Des centaines de migrants tchadiens bloqués ont été évacués du sud de la Libye par pont aérien, a déclaré l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) le 2 août à Genève. Les migrants ont été emmenés dans un centre de transit à Sebha puis par avion à N’Djamena, où on les a aidés à rentrer dans leur ville et village. Les rapatriés blessés de guerre ont été envoyés au Comité international de la Croix-Rouge dans la capitale tchadienne. Près de 200 000 Ouest-Africains ont quitté la Lib...lire la suite

L’ex-président tchadien Hissène Habré (1982-1990), exilé au Sénégal, inspire toujours une peur viscérale chez ses victimes qui veulent le voir jugé pour "crimes contre l’humanité", mais pas à N’Djamena où l’idée même de son retour a fait craindre des troubles violents. A l’annonce de son retour, des victimes auraient même prévu de quitter "la ville, par peur, rien qu’à entendre prononcer (son) nom", affirme le président de l’Association des victimes contre la répression politique (AVRP). L’un...lire la suite

Alors qu’elles tentent de faire face à la perte des envois de fonds des parents qui sont rentrés de Libye, les familles tchadiennes sont confrontées à une insécurité alimentaire croissante, s’endettent encore davantage et vendent leurs biens personnels. La plupart des familles ont réduit le nombre de repas qu’elles prennent ; 70 pour cent mangent des aliments moins nutritifs, et presque un tiers d’entre elles ont recours aux plantes sauvages, comme les feuilles et les baies.

La Cour d’assises des Hauts-de-Seine a ouvert le procès sur l’assassinat de Brahim Déby (27ans) fils du président Tchadien, Idriss Deby Itno, assassiné le 02 juillet 2007 dans son parking à Courbevoie banlieue parisienne). Un dossier judiciaire « géré avec prudence » sur l’axe Paris-NDiaména. Selon des sources bien informées, le président Déby est attendu à Paris le 4 juillet prochain et devrait être reçu en marge de l’ouverture du procès de son fils, par son homologue, Nicolas Sarkozy. Leq...lire la suite

Alors qu’elles tentent de faire face à la perte des envois de fonds des parents qui sont rentrés de Libye, les familles tchadiennes sont confrontées à une insécurité alimentaire croissante, s’endettent encore davantage et vendent leurs biens personnels. Le prix des aliments de base a augmenté : A Mao, la capitale du Kanem, le blé importé coûtait 43 pour cent de plus en avril 2011 qu’en avril 2010 ; l’huile d’arachide avait augmenté de 44 pour cent et le riz de 6 pour cent ; le prix du millet ...lire la suite

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