Mali

Le président malien Ibrahim Boubacar Kéita a annoncé la désignation prochaine d'une personnalité chargée de conduire les pourparlers avec les groupes rebelles pour une paix durable, indique un communiqué publié mercredi 16 avril à l'issue du premier Conseil des ministres du nouveau gouvernement dirigé par le Premier ministre Moussa Mara. M. Kéita a précisé que les pourparlers se feront "comme le stipule l'article 21 de l'accord de Ouagadougou, avec l'ensemble des communautés du nord, pour obt...lire la suite

Au cours de sa visite de deux jours au Sénégal, le président de la République malienne, Ibrahim Boubacar Keïta, a accusé le Mouvement nationale de libération de l’Azawad (Mnla) de jouer un double jeu. Le Mnla s’était rendu à Moscou, en Russie, au mois de mars dernier, pour faire entendre sa voix à un pays qui est membre du Conseil de sécurité de l’Onu. Le chef d’Etat malien accuse ce groupe Touareg d’avoir demandé des armes, lors de cette visite, pour préparer la guerre contre le gouvernement.

Human Rights Watch a accusé vendredi 11 avril, les autorités kényanes d'utiliser les Somaliens et Kényans d'ethnie somali comme "boucs émissaires", alors que des milliers de personnes ont été arrêtées depuis début avril et une centaine d'autres expulsées vers la Somalie. Entre 3.000 et 4.000 personnes ont été arrêtées dans le pays depuis le 4 avril, principalement à Nairobi dans le quartier d'Eastleigh, à forte population somalienne ou kényane d'ethnie somali, et retenues dans des postes de p...lire la suite

Le gouvernement du Mali et ses partenaires se sont donné quatre ans pour réhabiliter le patrimoine culturel détruit lors de l’occupation islamiste du nord du pays en 2012. Les travaux seront exécutés sur la base d’un plan d’action soutenu par l’Unesco et financé à hauteur de plus de onze millions de dollars par l’Union européenne (UE), la France, la Norvège et la Suisse. En plus de la réhabilitation du patrimoine culturel endommagé pendant l’occupation, les actions vont porter sur la protecti...lire la suite

Au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes de la nation, le pouvoir, après la démission du Premier ministre Oumar Tatam Ly, a choisi de s’installer dans l’invention de bouc émissaire. C’est désormais la machine du sectarisme et de l’intolérance qui est en marche. Comme le dit le slogan de feu Joseph Ki Zerbo, «tu te couches tu es mort». Et cette agitation orchestrée autour de la démission du Pm est la preuve que le régime perd son sang froid.

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