La polémique monte au Niger à propos de certaines dispositions du nouveau code électoral. C’est le cas concernant, par exemple, l’obligation d’être titulaire du BEPC (diplôme d’enseignement moyen) pour briguer un poste de député. Si certains politiques la considère comme un gage, une garantie d’efficacité du travail parlementaire, auquel les analphabètes (en français, langue de travail du Parlement ?) ne comprendraient pas grand-chose, d’autres, en revanche, n’y voient que l’exclusion pure e...lire la suite
La polémique monte au Niger à propos de certaines dispositions du nouveau code électoral. C’est le cas concernant, par exemple, l’obligation d’être titulaire du BEPC (diplôme d’enseignement moyen) pour briguer un poste de député. Si certains politiques la considère comme un gage, une garantie d’efficacité du travail parlementaire, auquel les analphabètes (en français, langue de travail du Parlement ?) ne comprendraient pas grand-chose, d’autres, en revanche, n’y voient que l’exclusion pure et simple de 80 à 90% des Nigériens de l’éligibilité.