Texte lu par Hernando Calvo Ospina, le 17 avril 2013 à la Maison de l’Amérique latine, Paris, lors de la présentation du livre « Le droit de l’humanité à l’existence », qui contient 22 « Réflexions » du dirigeant cubain Fidel Castro Ruz.

L'impatience grandit chez les Sénégalaises, notamment de l’extérieur, pour la réalisation d’une promesse du candidat Macky Sall: la possibilité de transmettre leur nationalité à leurs enfants issus de couple mixte. Devenu président, il avait annoncé qu’il fallait «que la femme sénégalaise puisse transmettre sa nationalité à son enfant. Ce ne sera que justice rendue». Néanmoins, la justice tarde à être rendue puisqu’aucune annonce officielle n’est faite allant dans ce sens.

Comme il est de coutume dans les principaux super médias qui arrosent la planète, presque aucune allusion n’est faite aux jours de commémoration des disparitions de grands héros africains. Pourtant, ce ne sont pas de moindres personnages que l’Afrique a loués ces dernières semaines. D’une part, pendant le mois d’octobre, et d’autre part dans le courant de ce mois de novembre 2012.

En 1981 Thomas Sankara n’était pas encore président du Burkina Faso. Il n’arrivera au pouvoir que le 4 août 1983. Mais à l’époque déjà, ses idées alternatives pour asseoir une révolution dans son pays étaient une réalité ancrée en lui. De l’agro-écologie il pensait alors faire une politique nationale.

En ce jour du 25ème anniversaire de la tragédie qui emporta Thomas Sankara et douze de ses compagnons (15 octobre 1987), je voudrais vous partager quelques réflexions au sujet de l'engagement de Thomas Sankara en faveur de l'écologie et de l'environnement.

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