Le retour politique d'Agathon Rwasa, chef historique des ex-rebelles des Forces nationales de libération (Fnl), principale force d'opposition burundaise, s'annonce ardu : première embûche, à peine réapparu mardi 6 août après trois ans de maquis, il a été interdit de meeting. Arrivé comme prévu devant la salle de réception Kwiraro, dans le sud de la capitale Bujumbura, où l'attendait un millier de militants en liesse, des dizaines de policiers déployés devant l'entrée, où l'attendaient aussi d...lire la suite
Le retour politique d'Agathon Rwasa, chef historique des ex-rebelles des Forces nationales de libération (Fnl), principale force d'opposition burundaise, s'annonce ardu : première embûche, à peine réapparu mardi 6 août après trois ans de maquis, il a été interdit de meeting. Arrivé comme prévu devant la salle de réception Kwiraro, dans le sud de la capitale Bujumbura, où l'attendait un millier de militants en liesse, des dizaines de policiers déployés devant l'entrée, où l'attendaient aussi diplomates occidentaux et onusiens, lui en ont interdit l'accès, expliquant qu'il n'avait pas les autorisations requises.