Zimbabwe

La première rencontre du président Robert Mugabe et du Premier ministre Morgan Tsvangirai depuis environ deux semaines au Zimbabwe s'est achevée le 26 octobre sur une impasse. Il s'agissait de leur première rencontre depuis le 16 octobre lorsque M. Tsvangirai avait qualifié le camp présidentiel de "partenaire indigne de confiance" et boycotté le Conseil des ministres, après l'arrestation d'un proche, le vice-ministre désigné de l'Agriculture Roy Bennett.

Le Premier ministre kenyan, Raila Odinga, exhorte le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, à quitter le pouvoir, estimant qu'il est "le seul responsable du blocage politique" que connaît son pays. Ces propos ont été tenus le 20 octobre à Paris, lors d'une conférence de presse conjointe avec le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Selon lui, « il faut arrêter avec ces compromis politiques qui permettent dans nos pays aux perdants de rester au pouvoir ». M. Odinga, faisa...lire la suite

Selon la croyance traditionnelle shona, au Zimbabwe, les parents d'un meurtrier doivent apaiser l'âme du défunt avec des filles vierges, parfois ayant l'âge de six ans. La vierge doit vivre avec la famille de la personne assassinée, quel que soit son âge. Quand elle atteint la puberté, elle devient la femme de l'un des hommes de sa nouvelle famille. Quelques années après avoir été prises à leurs familles et forcées de se marier et avoir des relations sexuelles avec des hommes adultes, ces ado...lire la suite

Le président zimbabwéen Robert Mugabe a assuré le 6 octobre que son pays était prêt à avoir de "nouvelles relations" avec l'Occident, qui critique depuis plusieurs années son régime, lors de la session d'ouverture du Parlement à Harare. M. Mugabe, 85 ans et au pouvoir depuis 1980, a régulièrement critiqué ces dernières années les puissances occidentales. Début août, il les avait accusés de chercher à "diviser" le gouvernement d'union nationale, mis en place en février, d'être "racistes" et av...lire la suite

La Cour suprême du Zimbabwe a abandonné, le 28 septembre, les poursuites pour complot contre la militante des Droits de l'homme zimbabwéenne Jestina Mukoko et ses co-accusés, parce qu'ils ont été battus et torturés pendant leur détention. Le jugement de la Cour Suprême met un terme au procès de Mukoko et des huit autres militants, car le gouvernement du a violé ses droits constitutionnels. Les accusations contre Mukoko et les autres militants sur un complot visant à renverser Mugabe avaient é...lire la suite

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