Benin

La publicité sur la pharmacopée et la médecine traditionnelle est désormais interdite dans la presse béninoise, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (Haac, instance de régulation). Les organes de presse contrevenant à cette règle risque une suspension de 3 mois et cinq millions de francs d’amende, voire le retrait de leur agrément, selon les mêmes sources. Selon l’OMS, 80 à 85% des béninois ont recours à la médecine traditionnelle.

Le gouvernement du Bénin a adopté le 28 décembre deux projets de décrets portant sur la lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin. Pour compléter cet arsenal, un troisième décret qui définit les modalités de protection des dénonciateurs, témoins, experts et victimes est en cours d'élaboration. Il est à noter que la loi portant sur la lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin est restée en souffrance sur la table des...lire la suite

Une belle moisson vient d’être réalisée par l’Etat béninois qui vient de lever 63,8 milliards de Fcfa via l’emprunt obligataire de la Caisse autonome d’Amortissement (CAA à 6,5% 2011-2016) lancée il y a seulement un mois. Cet emprunt obligataire visant à booster l’économie du pays à travers l’ambitieux Programme d’investissement Public, soutenu par les grands opérateurs béninois, a permis de dévoiler les grandes ambitions des investisseurs ivoiriens pour le Bénin, porte d’entrée de leur offen...lire la suite

Au nombre des nouvelles réformes engagées par le chef de l’Etat béninois réélu en mars dernier figure en bonne place la gestion parcimonieuse des ressources économiques et financières. Boni Yayi a décidé de mettre fin au paiement des primes et indemnités aux fonctionnaires en service dans les sociétés d’Etat et offices. Il demande à ces travailleurs de faire dorénavant leurs programmes sur le salaire mensuel auquel ils ont droit. Tel un coup de massue, cette nouvelle a surpris tout le monde d...lire la suite

Près de 2000 enfants béninois seraient exploités et maltraités au Congo. La semaine dernière, un accord a été signé à Pointe-Noire par les gouvernements du Congo et du Bénin, pour tenter de mettre fin à ce phénomène. Cet accord prévoit notamment des peines d'emprisonnement pour les auteurs de cette traite. Le phénomène de traite dont ils sont victimes a commencé à prendre de l’ampleur en 2006. Estimés à 1 800, ces enfants âgés de 11 à 18 ans, sont parfois récupérés par des associations.

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