A Jos, dans le nord du Nigeria, après trois jours de violents affrontements, quelque 10 000 déplacés, d’après les estimations, ayant fui les violences sont confrontés à une raréfaction des réserves d’eau, de médicaments et de denrées alimentaires. La ville a retrouvé son calme après les épisodes de violence sectaire qui ont éclaté le 27 novembre ; cependant, des milliers de personnes dont les habitations ont été brûlées au cours de ces trois jours d’affrontements sont toujours hébergées dans ...lire la suite
A Jos, dans le nord du Nigeria, après trois jours de violents affrontements, quelque 10 000 déplacés, d’après les estimations, ayant fui les violences sont confrontés à une raréfaction des réserves d’eau, de médicaments et de denrées alimentaires. La ville a retrouvé son calme après les épisodes de violence sectaire qui ont éclaté le 27 novembre ; cependant, des milliers de personnes dont les habitations ont été brûlées au cours de ces trois jours d’affrontements sont toujours hébergées dans les mosquées, les églises, les casernes militaires et les hôpitaux.