Kenya

Le gouvernement kényan va tenter d’empêcher la comparution en avril, devant la Cour pénale internationale (CPI), de six responsables kenyans mis en cause dans les violences postélectorales de 2007-2008. Selon le communiqué du gouvernement kenyan, le Statut de Rome, fondement juridique de la CPI, donne la possibilité aux accusés et à leur gouvernement "de contester la recevabilité du dossier ou la juridiction" de la CPI. Nairobi mène depuis plusieurs mois un intense lobbying diplomatique, aupr...lire la suite

Les principaux responsables kényans mis en cause dans les violences post-électorales de 2007-2008 ont indiqué le 9 mars qu'ils répondront à une convocation devant la Cour pénale internationale (CPI) le mois prochain à La Haye, afin d'y clamer leur innocence. La CPI a délivré le 8 mars des citations à comparaître le 7 avril contre six Kényans, dont quatre responsables politiques, soupçonnés de crimes contre l'humanité. Quelque 1. 200 personnes, selon l'accusation, ont été tuées et plus de 300....lire la suite

En collaboration avec le gouvernement du Kenya, les agences de l'ONU et leurs partenaires sont engagées dans des opérations d'assistance aux victimes de la sécheresse, particulièrement sévère dans les zones arides habitées par des éleveurs nomades et où des pénuries de nourriture et d'eau sont apparues. Liée au phénomène climatique « La Nina », la sécheresse touche près de 3 millions de personnes dans les régions du nord et de l'est du pays. A plus long terme, elle aura un impact négatif sur ...lire la suite

La maternité de Pumwani, dans le quartier pauvre de Eastlands à Nairobi, est le site d’un projet pilote qui utilise les téléphones mobiles pour aider les mères séropositives à éviter de transmettre le virus à leurs enfants. En juillet, le projet de contrôle du SIDA au Kenya a commencé à utiliser l’hôpital de Pumwani comme un site pour étudier le potentiel du suivi des patientes séropositives avec l’utilisation des téléphones portables. Le contact téléphonique est destiné à s’assurer que les m...lire la suite

Un ministre kenyan inculpé pour abus de pouvoir dans une affaire d'importation d'automobiles d'occasion a décidé le 4 janvier de démissionner au lendemain de la décision prise par le procureur général de le traduire en justice. "Je souhaite déclarer que mon comportement a été exemplaire. Je n'ai commis aucune faute", a déclaré M. Kosgey aux journalistes. "J'ai accordé des exemptions sur la base d'une notice légale stipulant que le ministre a le droit d'accorder des exemptions pour (l'importat...lire la suite

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