Uganda

Le gouvernement ougandais a interdit un atelier qui devait être organisé du 25 au 28 mars par les travailleurs du sexe du monde, à Kampala. La rencontre est parrainée par une organisation non gouvernementale basée aux Etats-Unis dénommée Open Society Institute (OSI) et co-organisée par l’Open Society Institute for East Africa (OSIEA). Le ministre ougandais de l’Ethique et de l’Intégrité, a annoncé l’interdiction de la manifestation lors d’une conférence de presse et annoncé que «l’Ouganda est...lire la suite

Des organisations de la société civile somalienne sont réunies en Ouganda pour trouver des mesures de promotion du dialogue entre les parties en conflit en Somalie et mettre fin à des années de guerre. Une réunion s'est ouverte dans ce sens le 12 mars. L'Ouganda est le premier pays à avoir envoyé des troupes en Somalie dans le cadre de la mission de maintien de la paix de l'Union africaine. Aujourd'hui, 1 500 soldats ougandais sont en faction en Somalie.

Le Fonds mondial pour les vaccinations annonce l’éradication de la méningite Hib en Ouganda, chez les enfants de moins de 5 ans. Ce véritable tour de force a été obtenu grâce à un programme de vaccination ambitieux, dans ce pays situé au cœur de la « ceinture de la méningite » africaine. Entre 2002 et 2006, le gouvernement ougandais est parvenu à distribuer 16,5 millions de doses de vaccin Haemophilus influenzae type b (Hib) à tous les enfants de moins de 5 ans.

Les écoles qui avaient été délocalisées en dehors de la région nord de l’Ouganda, ravagée par la guerre, reviennent petit à petit après la signature d’un accord de paix entre le gouvernement et les rebelles de l’Armée de Résistance du Seigneur. L’inspecteur d’académie du district de Gulu a déclaré que, pour le moment, 41 écoles primaires des localités de Gulu et d’Amuru avaient quitté les camps de déplacés internes. Cette opération de déménagement initiée par le gouvernemen, avec l’appui de p...lire la suite

Le gouvernement ougandais envisage d’interdire les mutilations génitales féminines mais les tenants de la tradition s’y opposent, estimant qu’une telle interdiction violerait leurs droits traditionnels. Dans le cadre d’un projet de loi présenté devant le parlement, le mercredi 20 février, le gouvernement indique qu’une personne reconnue coupable de se livrer à ces pratiques sera punie d’une peine d’emprisonnement de sept à dix ans ou d’une amende d’au moins un million de shillings ougandais (...lire la suite

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