Uganda

Les rebelles ougandais de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) continuent d’opérer impunément. Boutés hors de l’Ouganda en 2006 par le Président Yoweri Museveni, ils se sont « réfugiés » dans les pays voisins, en République démocratique du Congo (RDC), au Sud-Soudan, et en République centrafricaine. Saccages, pillages, viols et assassinats, telle est la vie des fidèles prédateurs de Joseph Kony, visé par un mandat d’arrêt international depuis 2005.

Le général de division, Caesar Acellam, qui a combattu dans la jungle depuis 1984, est désormais entre les mains de l'UPDF (armée ougandaise). Acellam est le quatrième plus haut responsable de la LRA, juste derrière ses trois principaux chefs, Joseph Kony, Okot Odhiambo et Dominic Ongwen, qui sont recherchés par la Cour pénale internationale (CPI). Le mandat d'arrêt de la CPI vise également un quatrième homme, Vincent Otti, présenté comme le commandant en second et vice-président de la LRA, m...lire la suite

Une image forte donnée par les femmes politiques ougandaises qui ont manifesté à Kampala les seins quasiment dehors, en protestation à la palpation des seins dont a été victime Ingrid Turinawe, responsable du principal parti d’opposition, le Forum pour le changement démocratique, de la part d’un policier alors qu’elle participait à une manifestation. Plutôt que de l’interpeller selon les règles, l’agent véreux l’a attrapée pas les bouts des seins, une image qui a choqué au-delà des frontières...lire la suite

Les jours en liberté du rebelle ougandais Joseph Kony, accusé de crimes contre l'humanité, sont comptés, a affirmé le 18 avril un sénateur américain de retour d'un voyage en Ouganda la semaine dernière. Début mars, une campagne lancée par une ONG américaine pour que M. Kony soit traduit devant la justice internationale s'est répandue sur internet. La vidéo de 30 minutes Kony 2012 sur Joseph Kony, a été vue plusieurs millions de fois. Il est inculpé de viol, mutilations, meurtres et recrutemen...lire la suite

Une mystérieuse maladie qui, selon les chiffres du gouvernement, a coûté la vie à au moins 170 personnes et a infecté au moins 3.000 enfants depuis 2009. Cette année-là, les chercheurs ougandais et américains ont conclu que ce n'était ni une épilepsie ni aucune autre maladie connue. La "Nodding disease", ou maladie du hochement de tête, ne s'est pas répandue dans les autres parties de l'Ouganda et atteint les enfants de moins de 15 ans. Puisqu'aucun chercheur n'a pu établir la cause de cette ...lire la suite

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