Le président de la Commission d’enquête de la Communauté de développement l’Afrique australe (Sadc) a averti que le Lesotho restait un terrain fertile pour l’instabilité. Mpaphi Phumaphi a indiqué que la fragilité de la situation politique dans le pays était due aux différentes positions adoptées par les partis qui occupent la scène politique du Lesotho. Il a fait remarquer que la capacité du Lesotho à créer des emplois est du ressort du gouvernement, rejetant la responsabilité des récentes t...lire la suite

Après l'entrée en fonction du nouveau Premier ministre, le pays était en bonne voie pour sortir de la crise politique. Mais le gouvernement proposé par Carlos Correia a été rejeté par le président Vaz. S’agit-il d’une nouvelle épreuve de force entre le président José Mario Vaz et le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, son parti d’origine avec lequel il est depuis plus de deux mois à couteaux tirés ? Son refus du gouvernement proposé par le Premier ministre Carlos C...lire la suite

L’un des prétendants au fauteuil présidentiel craint-il le témoignage de l’ancien numéro un du Conseil national pour la démocratie et le développement (Cndd) dans le dossier du 28 septembre 2009. La question reste posée. Dans un entretien, Fodé Oussou Fofana, directeur de campagne de l’Union des forces démocratiques de Guinée a accusé Alpha Condé d’empêcher le retour en Guinée de Dadis Camara. La raison ? ‘’Alpha Condé a peur du témoignage que ce dernier pourrait faire auprès de la justice’’,...lire la suite

Sept hauts magistrats ghanéens ont été suspendus de leurs fonctions pour corruption, moins d'un mois après le limogeage de 22 juges après la révélation par un journaliste d'un film les montrant recevant des pots-de-vin, a annoncé le ministère ghanéen de la Justice. Cette série de limogeages fait suite à la diffusion d'une vidéo montrant, en caméra cachée, des juges en train de recevoir des pots-de-vin, l'affaire étant révélée par le journal New Crusading Guide. Une projection publique de la v...lire la suite

Tandis que la prochaine élection présidentielle à Djibouti doit avoir lieu en 2016, les partis d'opposition peinent à faire entendre leurs voix. Plusieurs mois après avoir évoqué leur sort, force est de constater qu'ils continuent d'être étouffés par le pouvoir sans partage de l'actuel chef de l'Etat, Ismaël Omar Guelleh. Il se pourrait bien que le scrutin présidentiel de 2016 tourne à la mascarade.

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