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Le Nigéria est souvent pris en exemple lorsqu’il s’agit de parler de l’impact de la cybercriminalité en Afrique. Si l’on en croit les mots du ministre nigérian des Communications, Adebayo Shittu, le statut de «zone à risque» n’a pas été volé par le pays du président Buhari. En effet, le Nigeria perdrait annuellement environ 78 milliards de nairas (soit environ 400 millions de dollars) à cause de la cybercriminalité.