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François Bozizé et son fils sont pointés du doigt dans l’escalade de la violence en Centrafrique. L’ancien président balaie d’un revers de la main et apporte des précisions. «Non, non, non ! Ce n’est pas vrai ! Bozizé est un Président élu au suffrage universel, démocratiquement élu ! C’est la bête noire qu’on veut à tout prix écarter des prochaines élections. C’est ça le fond de l’affaire ! Ce n’est pas autre chose ! », se défend François Bozizé à qui il est reproché, après la réactivation de ces groupes anti-balaka, d’avoir cherché à les organiser, à les armer à son profit, avec l’aide de certains membres de son entourage.