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Malgré la relative embellie d’un taux de croissance du Produit intérieur brut qui atteint les 8% cette année, la pauvreté demeure le plus large dénominateur commun des Burkinabè. La plupart des solutions proposées par les pouvoirs publics, mais aussi par les Ong nationales et internationales, souffrent d’un manque d’impacts significatifs capables de changer la donne. Conséquence, le Burkina se modernise, mais ses habitants restent largement pauvres. Le chemin qui mène au développement humain durable est encore long et périlleux.