mar 24, 2013
Deux ans après la chute de Hosni Moubarak, de nombreux "jeunes de la révolution" estiment n'avoir plus que la violence de rue pour s'opposer aux Frères musulmans au pouvoir en Egypte, accusés de reproduire un système répressif, sourd aux espoirs de démocratie. La fugace solidarité du début 2011 contre Moubarak entre le mouvement islamiste très structuré et les "jeunes de la révolution" -ardents militants pro-démocratie mais mal organisés- a fait long feu.
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