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Le président de la Transition emboîte le pas à l'ancien président Marc Ravalomanana et ne se présentera pas aux présidentielles. Mais des questions restent en suspens pour une sortie de crise apaisée. L'annonce présidentielle ne s'est pas limitée à son retrait de la course à la magistrature suprême. Il a suggéré le réaménagement de l'ordre des élections en proposant la tenue des législatives avant les présidentielles, « entre les mois de mai et de juillet ». « Le jumelage des élections pourrait provoquer des troubles », a-t-il argué.