sep 30, 2012
Gel du code de la presse, nomination d'hommes liges à la tête des grands médias, pressions en tous genres... La volonté des islamistes d'encadrer l'information fait craindre le retour de la censure et de l'autocensure en Tunisie. Dix-neuf mois après le triomphe de la première révolution arabe, l'atmosphère est lourde. Les paroles d'angoisse fusent. Condition sine qua non de la démocratie, la liberté d'expression est la première en péril, et avec elle la liberté d'opinion.
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