juin 10, 2012
Quelque 70 intellectuels tunisiens ont lancé un appel public dans lequel ils s’inquiètent du recul des libertés dans leur pays, à l'origine du "printemps arabe". Parmi les signataires de ce manifeste repris par les principaux titres de la presse internationale, l’on retrouve un chapelet impressionnant de tout ce qui compose « la Tunisie qui pense ». Cet engagement de figures contemporaines emblématiques semble indiquer qu’une cassure irrémédiable est en train de se creuser entre les islamistes du parti d’Ennahda et les élites du pays.
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