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Le chef de l'Etat gabonais a dénoncé, dans un discours devant les hauts cadres du pays le 2 mai à Libreville, la corruption, le harcèlement sexuel et le trafic d'influence dans l'administration de son pays. Dans ce réquisitoire Ali Bongo Ondimba a aussi fustigé certains comportements rétrogrades des fonctionnaires dont "les horaires de travail (...) déterminés en fonction des humeurs de chacun, l'absentéisme devient un fléau, quelques fonctionnaires se complaisent à multiplier des trafics d'influence".