avr 30, 2012
Selon des militants kényans de la lutte contre le VIH, l’arrêt de la Haute Cour, qui estime que la définition du terme « anti-contrefaçon » utilisée dans la Loi anti-contrefaçon de 2008 est trop large, permettra de sauver des millions de Kényans et de protéger le droit à la vie des citoyens. La juge de la Haute Cour, Mumbi Ngugi, a constaté que la loi ne faisait pas clairement la distinction entre les médicaments contrefaits et les médicaments génériques. Elle a appelé le parlement à lever les ambiguïtés qui pourraient entraîner la saisie arbitraire de médicaments génériques sous couvert de lutte contre les médicaments contrefaits.
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