oct 09, 2011
Près de six mois après la chute de Laurent Gbagbo qui annonçait la fin prochaine des combats entre les forces fidèles au président déchu et celles d'Alassane Ouattara, le nouveau pouvoir est accusé de renier ses promesses en matière de justice contre les personnes de son propre camp soupçonnées d'avoir commis des massacres. Pire, selon les rapporteurs, les premiers signes sont extrêmement négatifs, Alassane Ouattara ayant promu le 3 août plusieurs commandants fortement soupçonnés d'être les auteurs de violations graves du droit international.
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