Au Zimbabwe, une augmentation sans précédent du taux de gangs féminins responsables de viols collectifs sur des hommes laisse le pays perplexe. Elle a contraint le patron de la police à diligenter des enquêtes à grande échelle. Choqués, les citoyens zimbabwéens assurent que cette étrange tendance semble être davantage motivée par la superstition. On présume que ces femmes rôdent avec des préservatifs qu’elles emportent après le rapport sexuel, pour utiliser le sperme à des fins rituelles. Au cours des deux derniers mois, le même modus operandi est utilisé par les femmes violeuses : les hommes, sans méfiance, se voient offrir un tour en voiture, avant se retrouver enchaînés à des buissons. Isolés, un fusil sur la tempe, forcés à faire l’amour.
- Identifiez-vous pour poster des commentaires
- 323 lectures