déc 18, 2008
Séguéla, Man le 24 novembre, Bouaké et dans une moindre mesure Abidjan le 13 décembre. En moins de trois semaines, il y a eu du bruit dans toutes les prisons de ces quatre grandes villes de la Côte d’Ivoire. Si le cas d’Abidjan se décrit objectivement comme étant un mouvement d’humeur pour réclamer de meilleures conditions de détention, dans les trois autres localités citées, qui se trouvent être dans la zone sous contrôle des Forces nouvelles, la situation se présente sous une forme plus alarmante qu’elle ne l’a été jusque là. Elle révèle une autre face du profond malaise au sein des éléments de Guillaume Soro.
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