oct 23, 2007
Ndèye Seck, 30 ans, est si effacée qu'elle se fond dans le paysage. Mais tout change dès qu'elle s'installe derrière un tam-tam: elle est percussionniste en chef et l'une des rares femmes de cette profession encore très conservatrice au Sénégal. «Ce n'est pas facile, mais j'ai la chance de travailler avec des gens ouverts ici», affirme à l'Afp la musicienne menue, rencontrée à Toubab Dialaw à 50 km au sud-est de Dakar.
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