juil 24, 2006
Les représentants des quelque 43.000 déplacés du camp de Zam Zam (800 km à l'ouest de Khartoum) sont unanimes pour réclamer le désarmement contrôlé des milices pro-gouvenementales, les redoutés Djandjawids, avant d'envisager un retour dans leurs foyers. Parlant pour les deux autres amids (anciens) qui l'accompagnent jeudi matin à une réunion avec un responsable de la Mission de l'Union africaine au Soudan (AMIS), le cheikh Ali Mohamed Fadul est catégorique: "Nous resterons à Zam Zam tant qu'il n'y pas de sécurité et pour cela il faut désarmer les Janjawids".
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