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Le Zimbabwe va pouvoir revendre des diamants en dépit d’accusations portées contre le recours dans ses mines à du travail forcé sous le contrôle brutal de l’armée, mais cette décision a divisé la communauté internationale. Le mécanisme de contrôle de la commercialisation des diamants dans le monde, appelé processus de Kimberley, a approuvé le 24 mai, lors d’une réunion à Kinshasa, une reprise partielle des ventes de diamants de la région de Marange, dans l’est du Zimbabwe. La Chine, l’Inde et des nations africaines ont soutenu cette décision, alors que des pays occidentaux, des défenseurs des droits de l’homme et des industriels du secteur y étaient opposés.