fév 11, 2013
Milices islamistes issues des comités de quartier de l'après-Ben Ali, les ligues de protection de la révolution sont à nouveau accusés d'attiser la montée de la violence politique en Tunisie, au lendemain du meurtre de l'opposant Chokri Belaïd. Au lendemain du meurtre par balle de l'opposant Chokri Belaïd, figure du Front populaire tunisien, et à l'orée d'une nouvelle crise politique, les regards se tournent vers ces milices islamistes. Si les commanditaires de l'assassinat demeurent inconnus, les opposants au pouvoir accusent les ligues d'alimenter la violence politique en Tunisie. Et de servir de bras armé à Ennahda, le parti au pouvoir.
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