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Alors que la polémique enfle autour du cas de la jeune femme, violée par deux policiers, qui risque d’être inculpée pour atteinte à la pudeur, la présidence tunisienne a publié un communiqué jeudi 4 octobre, dans lequel on apprend que Moncef Marzouki « a reçu la jeune fille violée par des policiers (...) et après avoir entendu les détails de cette douloureuse affaire (..), il a exprimé sa totale sympathie (à la femme violée) et présenté les excuses de l'État ». Moncef Marzouki a également condamné ce viol tout en saluant les policiers qui ont refusé de couvrir leurs collègues.